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ème jour :
Nous
sommes dimanche, en sortant de l’hôtel, la
volée de
cloches de Santa Maria Maggiore nous invite à la
messe ; en
latin, servie par deux évêques et plusieurs
diacres, elle
en impose.
C’est
décidé, nous marcherons
moins ! les pieds de Michèle demandant un
réassortiment de Tricostéril. En plus elle
n’a pas
trop supporté le petit blanc Frascati d’hier soir,
il doit
être chargé en anhydride sulfureux.
Métro
jusqu’à la basilique San Giovani in Laterano (St
Jean de Latrans).
Enorme
église, bien dégagée sur un terre
plein et avec un
cloître du XIII ème magnifique avec ses colonnes
torsadées.
De là petite marche
!? vers les Thermes de Caracalla
Impressionnant
par les dimensions !
Salle
tiède, chaude, froide, salle de sport
bibliothèque,
auditorium. 1600 hommes – pas de femmes- pouvaient ainsi se
délasser et se divertir.
« Quand même
z’étaient pas fous ces
romains ! »
Retour
à San Giovani pour prendre le bus qui va aux Catacombes de
San
Callisto ou, sur 4 niveaux et 20
kilomètres de long,
sont enterrés 500.000 chrétiens, les
païens romains
se faisant incinérer.
Les
visites commentées se font par langues et nous nous
retrouvons
en compagnie d’un jeune couple de français
sympathiques
avec une guide très volubile.Une copie de Sainte
Cécile
martyr nous émeut.
Retour par un bus
bondé qui a
la bonne idée de tomber en panne, nous sommes quelques uns
à descendre, mais San Giovani est encore bien loin et
¼
heure après le car nous double sans
s’arrêter bien
sur. Nous attendons au moins 1 heure en plein soleil, dans la
circulation qu’un autre s’arrête.
Pour ce qui est de ne pas
marcher ? ce n’est pas encore pour
aujourd’hui.
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