2ème
jour :
Départ, à pied, pour le
Colisée, le Palatino et le Forum.
Assez
longue marche dans la fraîcheur matinale, mais sous le
soleil.
Depuis le Parc Oppio de l’Esquilino nous
débouchons sur le
Colisée qui nous impressionne fortement par sa
taille, il me paraît bien plus haut que les arènes
de Nîmes.
Le
matin, l’affluence est déjà
là, mais
l’après midi, ce doit être la cohue
cosmopolite avec
des queues immenses aux guichets. Heureusement que le
bâtiment
avait été prévu pour 55.000
spectateurs.
Dans les couloirs se tient une expo
intéressante...
De
là par l’Arc de Constantin, nous montons au
Palatin qui surplombe le Forum où la grandeur des anciens
palais ou villas nous stupéfie.
Depuis
le jardin Farnèse la vue sur le Forum est
immanquable.
Au
bout du Forum, après avoir vu - mais il faudrait y passer
des
heures – les temples, basiliques antiques, maisons,
arcs,
colonnes, remontée sur le Capitole.
La
place du Capitole, dessinée par Michel-Ange sur le site de
l’ancienne citadelle antique, sans voitures heureusement est
admirable.
Le palais est occupé par la
Mairie de Rome.
Au
centre de la place, Marc Aurèle chevauche
fièrement sa
monture – l’original est au Musée du
Vatican.
De
chaque coté du palais se situent les Musées
capitolins
qui abritent de nombreuses collections de sculptures et de
peintures.
Billetterie
et consigne des sacs
au musée de droite en regardant le Capitole
– les y
laisser pour aller visiter le Musée en face accessible par
une
galerie souterraine.
C’est là que se
trouve la louve, mère de Rome et tant d’autres
chefs
d’œuvres, depuis les bijoux étrusques
jusqu’aux sculptures baroques, et dans la
pinacothèque ou
l’on trouve moult peintures européennes
du XVe
au XVIIIe.
Le grand
escalier de Michel-Ange, le Cordonata est orné de statues
antiques, des Dioscures et les Trophées de Marius (
l’art
d’utiliser les restes ) qui le rendent encore plus majestueux.
Juste
derrière le palais neuf – musée qui
n’a pas
la billetterie- Il y a Santa Maria in Aracœli et une
magnifique fresque du XVe du Pinturicchio : les
Funérailles
de St Bernardin.
Et juste derrière cette
église un
des plus hauts bâtiments de Rome qui domine la piazza
Venezia, le
Vittoriano, construit en 1885, en mémoire à
Victor
Emmanuel II. Sur la façade blanche, des sentinelles gardent
la
flamme du soldat inconnu italien.
Après
cette grande et longue promenade, le retour à pied
à
l’hôtel est un peu rude, mais la journée
n’est
pas terminée.
Une
bonne douche, les
pieds de Michèle pansés, nous repartons vers la
gare
prendre des billets pour un city tour de nuit sur un bus à
impériale avec écouteurs pour commentaire en
français : très intéressant.
Dîner chez Santi.
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